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La jeune et enthousiaste société DCW a eu la riche idée de rééditer la collection de Suspensions Here Comes the Sun que Bertrand Balas dessina en 1970.
Objet insolite autant que lampe, elle est disponible en quatre finitions : noir/cuivre, blanc/cuivre, noir/noir, blanc/blanc.Â
Aux 4 formats initialement proposés, DCW a ajouté en 2017 la Here Comes the Sun Mini, d'un diamètre de 10 cm, qui élargit le champ de ses usages.
Matériaux aluminium Garantie 2 ans
Fil textile noir 5m (ou 3m pour la version mini Ø10 cm) - Rosace Ø9 cm blanche (ou 5,6 cm pour la version mini Ø10cm)
Ø10 cm (mini) Source lumineuse G4 – Poids 0,5 kg Ø17,5 cm Source lumineuse G9 max 25W – Poids 1 kg
Ø25 cm Source lumineuse E14 max 11W– Poids 2 kg Ø35 cm Source lumineuse E27 max 23W – Poids 3,5 kg
Ø45 cm Source lumineuse E27 max 23W – Poids 5 kg
NB ampoule fournie uniquement pour la version mini Ø10 cm
Ø10 cm (mini)
Ø17,5 cm
Ø25 cm
Ø35 cm
Ø45 cm
Ø10 cm (mini)
Ø17,5 cm
Ø25 cm
Ø35 cm
Ø45 cm
Ø10 cm (mini)
Ø17,5 cm
Ø25 cm
Ø35 cm
Ø45 cm
Ø10 cm (mini)
Ø17,5 cm
Ø25 cm
Ø35 cm
Ø45 cm
Kit 4 lampes – Ø52 cm
Kit 7 lampes – Ø56 cm
Kit 9 lampes – Ø60 cm
Pavillon noir supplémentaire
Kit pour 2 lampes – L40 cm
Kit pour 3 lampes en ligne – L60 cm
Kit rond pour 3 lampes – Ø20 cm
Kit rond pour 5 lampes – Ø25 cm
Kit rond pour 9 lampes – Ø32 cm
Kit rond pour 15 lampes – Ø39 cm
Kit rond pour 21 lampes – Ø45 cm
Kit rond pour 26 lampes – Ø55 cm
Kit rond pour 36 lampes – Ø76 cm
Ø10 cm - mini
Ø17,5 cm
Ø25 cm
Ø35 cm
Ø45 cm
Bertrand Balas
Bertrand Balas est un architecte designer français.
« En fait, je ne sais trop quoi dire ; j’ai commencé ma vie professionnelle en 1962 en tant qu’indépendant après avoir fait quelques mois de stage dans un atelier à Paris histoire de me remettre dans le bain actif après trente six mois de service militaire dont une part en Algérie (c’était l’obligation de l’époque). Je suis rentré très vite à Toulouse, supportant mal la vie dans ce Paris qui ne me convenait pas à divers titres : le stress, les relations particulières avec les gens, la superficialité de certains échanges, les transports, enfin un tas de choses qui ont fait que j’ai retrouvé ma province avec soulagement et plaisir. Et j’ai bossé en tant qu’architecte et décorateur pour des résidences de riches industriels.
En 65, au cours d’un voyage avec un important distributeur de matériel d’éclairage, je suis entré en contact avec la société Raak qui a été très alors fondamentale pour l’éclosion de mes capacités de designer, le directeur de cette société ayant dit que si on (nous étions deux architectes) avait quelque projet dans ce domaine il était tout à fait preneur si cela rentrait dans l’esprit de sa société. Pendant 2, 3 ans cela a mûri dans mon esprit et j’ai commencé à ébaucher quelques projets. Avec anxiété je les ai envoyés, moi qui étais un jeune de moins de trente ans, à Monsieur Lockhorn, le responsable de la société qui, ô surprise en a accepté un ! Wouhaou ! je me suis alors mis fébrilement à mettre au point divers objets, dont « Here Comes the Sun », créée en deux diamètres et trois autres modèles.
Au total j’ai eu cinq objets édités. Puis mon travail d’architecte a pris complètement mon temps disponible et je n’ai plus eu la liberté d’esprit pour créer espaces où il se perd, imaginer des formes, des volumes, des couleurs et des matières, et surtout se laisser dériver dans le temps, le temps étendu, sans obligations précises, et essayer de formaliser quelque chose qui, comme ça, finit par apparaître. Quelque fois à sa propre surprise. Puis très longtemps après, alors qu’à la retraite j’avais orienté ma vie vers d’autres activités, brutalement j’ai été réveillé par un appel téléphonique de Frédéric Winkler intéressé par ce qui allait devenir « Here Comes the Sun » et d’un coup ma carrière de concepteur d’objets de lumière est repartie. Pour mon plus grand bonheur. »Â