Scandinavia Design
Espace Client
Panier

Porte-manteaux Kiila – Artek

Daniel Rybakken

Fr
En

-15% avec DESIGN15

Artek, Design Finlandais
KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken
KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken

Composé de trois pieds en frêne et des rivets apparents, le porte-manteau Kiila est simple et robuste. Inspiré par le trépied de caméra sur lequel le designer Daniel Rybakken avait l'habitude de suspendre ses manteaux, il possède un centre de gravité bas et peut supporter un poids important sans basculer. 

Les rivets métalliques visibles et leur fini poudré contrastent avec les jambes en frêne massif. Robuste mais élégant, le porte-manteau Kiila offre un espace de rangement pratique pour les vestes, les sacs et autres objets, même dans les plus petites pièces.

KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken
KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken

Matériaux frêne massif, feuilles d'acier peinture pulvérisée, crochets en polyamide, patins anti-dérapants

Dimensions L54 x l48 x H192 cm

KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken

Frêne – rivets blancs

KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken
KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken

Frêne – rivets noirs

Noir

KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken
KIILA portemanteaux et portants Daniel Rybakken

Daniel Rybakken

Daniel Rybakken

Fils de deux designers, Rybakken voulait devenir inventeur lorsqu’il était enfant et l’inventivité est toujours une valeur qu’il souhaite développer.

Reconnu pour son travail novateur sur la lumière, la collaboration de Rybakken avec Artek lui permet d’entrer dans le domaine du design industriel classique, de la création de meubles et du travail du bois - une première pour le designer.

Rybakken travaille lentement dans son atelier situé dans une ancienne usine à fil du 19e siècle. Il n'entreprend que quelques projets par an.

Les résultats, qui ont fait leurs débuts à la Stockholm Design Week en 2017, sont frappants. L’interprétation du minimalisme proposée par Rybakken n’est pas seulement une question de simplification, il vient y ajouter la notion du jeu.